Des nanoparticules dans les vaccins ?
Chère amie, cher ami,
Il y a quelques mois est parue dans la revue médicale International Journal of Vaccines and Vaccination, une étude menée par le Pr Stefano Montanari qui aurait dû faire la Une de tous les journaux, à commencer par les magazines de santé.
Cette étude démontre que l’on retrouve de nombreux métaux lourds sous la forme de nanoparticules dans les vaccins. Sur les 44 vaccins étudiés par les scientifiques, un seul ne contenait pas de contaminant dangereux… Il était à usage vétérinaire !
Faut-il en conclure que les vaccins pour les humains sont moins sûrs que les vaccins pour les animaux ?
En tout cas, cette découverte a une incidence pour les vaccins bien sûr, mais aussi au-delà. Vous allez comprendre pourquoi.
Mais commençons par le début !
Une démarche simple et scientifique de contrôle
Qu’a fait cette équipe italienne ? Son travail, serait-on tenté de dire… Et ce que les laboratoires pharmaceutiques concernés auraient dû faire également.
Ces scientifiques ont acheté 44 vaccins en pharmacie. Certains viennent de France, d’autres d’Italie. Les fabricants concernés sont les entreprises : GSK, Novartis, Baxter, Sanofi Pasteur, Pfizer, Allergopharma et Virbac.
Les vaccins sont composés, le plus souvent d’une fiole, d’une seringue et d’une aiguille.
C’est le cas par exemple du fameux Infanrix hexa qui couvre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l’influenza B et l’hépatite B [1].
Les chercheurs de l’étude ont extrait la substance du vaccin avec la seringue avant de l’analyser. Pour ce faire, ils se sont servis de l’aiguille fournie par le fabricant. Ce détail n’est pas anodin.
En effet, une part des métaux présents dans le vaccin pourraient venir de résidus de métaux qui resteraient sur l’aiguille après son aiguisage (avec des machines au tungstène). Mais ce n’est qu’une hypothèse.
Un matériel de haute technologie pour un procédé tout en finesse.
La finesse des résultats obtenus par cette étude est liée à l’utilisation d’un microscope électronique à balayage qui permet de grossir considérablement la résolution de l’image et de voir des détails minuscules, invisibles à l’œil nu (ou par un microscope optique).
L’étude décrit précisément la méthodologie adoptée par les chercheurs :
1. Une goutte de 20 microlitre du vaccin a été extraite de la seringue sur un filtre de cellulose de 25 mm de diamètre.
2. Ce filtre a ensuite été disposé sur une feuille de cellulose, elle même posée sur une plaquette en aluminium recouverte d’un disque de carbone.
3. L’échantillon a ensuite été immédiatement mis dans une boîte propre pour éviter toute forme de contamination.
4. Quand l’eau et la saline des vaccins se sont évaporées, les composants biologiques ou physiques des vaccins sont apparus.
5. Ils ont alors été observés au microscope.
6. Ont été comptés tous les corps non organiques présents dans le vaccin.
7. Les scientifiques ont procédé à l’analyse des corps non organiques
8. Ont été scrupuleusement notés tous les corps étrangers qui ne figuraient pas sur la notice des vaccins...
Des métaux lourds dans les vaccins !
Et qu’ont noté nos chercheurs ?
Dans tous les vaccins (sauf un, à usage vétérinaire), se trouvent des débris de métaux. Souvent, ils se présentent sous la forme d’agrégats [2] nichés dans des organismes vivants comme s’ils avaient été capturés.
Les scientifiques ont pris de nombreuses photos montrant les points où les agrégats de métaux se distinguent nettement des organismes vivants (protéines, ADN, bactéries etc).
Sur l’ensemble des vaccins analysés, voici les métaux (tous ne posent pas les même difficultés) qui ont été retrouvés : du tungstène (8/44), du chrome seul ou allié au nickel (25/44) mais aussi les métaux suivants : Zirconium, Hafnium, Strontium, Aluminium, Nickel, Fer, Antimoine, Or, Zinc, Argent, Platine, Bismuth, Plomb, Cerium.
Faut-il s’inquiéter de ces doses minuscules ?
Longtemps, depuis Paracelse, on a pensé que la dose seule comptait pour les toxiques (dont font partie les métaux lourds). Boire un tout petit peu de plomb ou de mercure ne posait pas de problème, pensait-on.
C’est, du reste, l’argument principal que mettent en avant ceux qui critiquent l’étude [3].
Et pourtant, cette étude ainsi que celles menées par le Pr Gherardi et son équipe au sein de l’hôpital Mondor, indiquent que de minuscules particules peuvent avoir un effet bien pire que des molécules beaucoup plus grosses.
Pourquoi ?
En raison des interactions qui existent entre les tissus ou les cellules vivantes et les métaux.
Les travaux du Pr Gherardi, comme l’étude italienne, montrent que les organismes vivants peuvent capturer les nanoparticules.
Ce phénomène n’existe pas à une échelle plus grosse. C’est un peu comme si la toute petite taille des particules induisait les organismes vivants en erreur et les poussait à créer des associations contre nature.
Le résultat de ces agrégations est, en tout cas, néfaste pour la santé. En effet, d’après l’étude du Pr Montanari :
1. Les agrégats de matière vivante et minérale (les métaux) forment un ensemble qui n’est pas bio-assimilable. En clair, les métaux ne sont pas évacués contrairement à des molécules plus grosses qui ne pourraient pas interagir pas avec les organismes vivants. Cette bio-persistance est très inquiétante. Cela veut dire qu’à l’instar de l’aluminium des vaccins qui reste dans le deltoïde (le muscle du bras) ou qui s’en va dans les reins, dans le microbiote ou pire dans le cerveau ; ces métaux risquent de se promener partout dans le corps sans que nous sachions précisément ce qu’ils deviennent et s’ils ont des effets sur la santé.
2. Les tissus ou organismes vivants en contact avec des métaux sont attaqués. Cette corrosion des organismes vivants peut entraîner une inflammation une fois le vaccin injecté. Les conséquences de ces observations qui rejoignent les conclusions du Professeur Gherardi sont considérables. Au niveau des vaccins, bien sûr, mais aussi au-delà, au niveau de toutes ces nanoparticules qui nous entourent au quotidien (pollution atmosphérique, téléphones…) Les effets secondaires des vaccins expliqués ? Selon nos chercheurs italiens, la présence de ces métaux lourds dans les vaccins pourrait expliquer la part d’effets secondaires qui leurs sont associés.
Comme ils le précisent dans l’étude : des millions de doses de vaccins sont administrées tous les jours sans que cela ne créé de problème particulier chez les patients.
Pour autant, il existe des effets secondaires. C’est un fait connu et accepté des scientifiques et des fabricants de vaccins.
Surtout, ces effets secondaires sont en constante augmentation et ils sont plus graves qu’auparavant, d’après l’Académie de Pédiatrie Américaine (American Academy of Pediatrics) [4] [5].
Ainsi, l’hypothèse du Pr Stefano Montanari mérite-t-elle peut-être d’être vérifiée ?
Etant donnée l’obligation vaccinale et la très forte pression mise sur les parents pour les vaccins recommandés, il serait sans doute bon que les autorités fassent mener d’autres études indépendantes sur le sujet.
Action en justice
Le rapport italien sur les nanoparticules dans les vaccins a déjà été utilisé en justice dans l’affaire du Méningitec que doit trancher le Tribunal de Clermont-Ferrand.
600 familles plaignantes, dont les enfants ont été contaminé par des lots de vaccins défectueux, se sont retournés contre le distributeur de ces vaccins en France.
Pour l’instant, l’expert judiciaire ne semble pas vouloir retenir cette étude, qui repose sur une technologie qu’il ne maîtrise pas [6].
En conclusion, il faut dire que cette étude, tout en étant inquiétante, ne suffit pas.
Il serait bon que d’autres chercheurs se penchent également sur le sujet. Mais les observations des scientifiques sont intéressantes en ce qu’elles semblent corroborer les études menées par le Pr Gherardi et son équipe depuis plus de 20 ans : la petite taille des particules de métal est problématique. Ces métaux s’agrègent à des organismes vivants et créent des inflammations.
Pour autant, il faudra affiner ces recherches. Y a-t-il une hiérarchie des métaux ? Sont-ils tous dangereux sous la forme de nanoparticules ? Sont-ils plus dangereux sous forme d’alliage ? Quelles conséquences peut avoir la présence de ces nanoparticules dans le corps ? etc.
Cette étude pose plus de questions qu’elle n’en résout en définitive.
Pour autant, compte tenu des réserves exprimées par ces scientifiques sur la présence de métaux lourds dans les vaccins, il est grand temps que les autorités se saisissent du problème pour rassurer les familles qui s’inquiètent tandis que les effets secondaires des vaccins, même s’ils sont limités, continuent à augmenter.
Que l’explication des effets secondaires réside dans les nanoparticules de métaux ou ailleurs n’est peut être pas le plus important aujourd’hui. Il faudrait déjà commencer par accepter qu’il existe un problème - les victimes en sont la preuve - et améliorer la recherche sur les causes probables de ces effets secondaires.
Enfin, vous pourrez vous faire un avis par vous-même sur l’étude italienne que vous trouverez ici (en anglais).
Naturellement Vôtre,
Augustin de Livois
PS : Le Pr Gherardi, auteur du très bel ouvrage “Toxic Story”, et André Picot, toxico-chimiste au CNRS, seront présents à notre Congrès International de Santé Naturelle des 30 septembre et 1er octobre 2017. Ils pourront, à cette occasion, répondre à toutes les questions légitimes que vous vous posez sur ce sujet délicat.
Sources :
[1] Vaccins : commerce et santé publique font-ils bon ménage ?
[2] L’agrégat est un assemblage de particules
[3]I love it when an antivax “study” meant to show how “dirty” vaccines are backfires so spectacularly
[4] US Dpt of health and human services (1996) Report Update : Vaccine Side effects, adverse reactions, contraindications, and precautions. CDC 45 (RR-12) : 1-
Alain KALT (retranscription)
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