Retour sur les Manifestations pour la liberté vaccinale du week-end dernier
Les 14 et 15 octobre derniers avaient lieu différentes manifestations pour la liberté vaccinale à Paris. Je ne pouvais malheureusement pas m’y rendre étant au congrès des ondes scalaires (dont je vous parlerai dans une prochaine lettre). Toutefois, j’ai eu différents retours sur cet événement.
La première conclusion est que le mouvement dans la rue est pour, l’instant, trop faible.
Il y a différentes raisons à cela. La plus importante, il me semble, est que la grande majorité de la population – et peut être que vous aussi – ne sait pas vraiment ce qu’il faut penser de ce sujet.
Lorsque j’en discute autour de moi, les avis sont partagés.
Si beaucoup de personnes n’approuvent pas la démarche coercitive du gouvernement, peu se sentent suffisamment menacés ou impliqués pour avoir envie de manifester leur colère sur ce sujet.
Pour autant, l’anxiété des jeunes mères de famille est toujours présente. Et malgré tout, une proportion grandissante de la population se pose des questions sur le calendrier vaccinal proposé (11 vaccins avant 2 ans !) et sur la réaction épidermique de leur médecin ou des autorités de santé sur le sujet.
On le voit par exemple avec Michel Cymes, animateur d’émission TV de santé et médecin. Cet homme, excellent communicant, connu pour ses traits d’humour légers, est habituellement affable et sympathique. Mais lorsqu’on parle des vaccins, le ton change. Il monte au créneau. Il sort les griffes. Il a ainsi tenu à pousser un « coup de gueule » médiatique en septembre dernier comme on le voit dans cette vidéo.
Pour autant, en dépit de ce qu’il affirme, les opposants à la coercition vaccinale ont également des arguments.
Par exemple, le Pr Henri Joyeux, dans une autre vidéo explique comment aux Etats-Unis l’aluminium a été retiré des vaccins pour animaux en raison des cancers (sarcomes) que ces vaccins provoquaient chez les chiens et les chats.
Conclusion : les animaux sont aujourd’hui mieux protégés que les humains des risques de l’aluminium vaccinal.
Toujours sur l’aluminium, le Pr Romain Gherardi a eu l’occasion d’expliquer le résultat de ses recherches auprès de Michel Cymes.Voir la vidéo ici. Selon le chercheur, l’aluminium vaccinal est capté par des cellules immunitaires (macrophages). Chez certains patients, le métal toxique est rejeté dans la lymphe. Il file dans le sang, puis atteint le cerveau. Dans certains cas, cela provoque une terrible maladie : la myofasciite à macrophages.
Ailleurs, un autre médecin, le Dr Vincent Reliquet s’interroge également sur la cohérence des politiques vaccinales en France et en Europe. Il précise « Nous ne cherchons pas à être contre la vaccination mais à comprendre la vaccination ».La vidéo est ici.
Dans la même veine, la position de Michel de Lorgeril incite à la prudence. Il explique que nous ne savons pas tout sur les vaccins. Il explique par ailleurs que les maladies infectieuses ne peuvent pas être « détruites » comme on l’imagine parfois. Une tentative d’éradication d’une maladie par les vaccins, donnera lieu à l’apparition d’une autre maladie. La nature évolue et s’adapte. Rien est figé. Pourquoi donc faudrait-il sanctuariser la politique vaccinale ? La vidéo est ici.
Un autre scientifique, Michel Georget, agrégé de biologie va plus loin. Il estime, lui que les vaccins comportent des risques et qu’il faut les connaître avant de vacciner. Vous trouverez une de ces conférences ici. On trouve encore bien d’autres informations contradictoires sur la question des vaccins sur Internet. Comment, dans ce contexte, se faire un avis ? Comment s’y retrouver ?
La vérité est que personne n’est sûr à 100% sur la question vaccinale.
Même Michel Cymes rappelle que la vaccination est un acte médical. Cette notion est essentielle. C’est une des clés du débat. Car l’acte médical n’est jamais anodin. Il comporte des effets secondaires, qui sont acceptés par la société, représentée par les autorités de santé ou le législateur, au nom d’un rapport bénéfice/risque avantageux.
C’est pour cela que l’acte médical est encadré par la loi. C’est pour cela que les citoyens ont leur mot à dire.
Ce débat est donc sociétal, politique si vous préférez, avant d’être scientifique.
Mais si je devais retenir trois éléments pour vous aider à vous forger un avis, je dirai simplement ceci :
La souffrance d’un enfant qui décède de la rougeole ou d’une autre maladie infectieuse, c’est horrible. c’est une raison pour vacciner les enfants. Mais un enfant qui meurt ou dont la vie est détruite (lourd handicap) à cause d’un vaccin est tout aussi atroce. C’est là une raison pour ne pas vacciner les enfants.
Le mieux est donc de pouvoir évaluer le risque.
Or, cela est possible en recherchant quel est le typage HLA de la personne.
On sait qu’une partie de la population n’est pas dotée d’un système immunitaire capable de supporter les vaccins. Ces personnes là sont aujourd’hui les victimes de la politique vaccinale actuelle et à venir. Notre devoir, quel que soit notre position sur les vaccins, est de prendre en compte ces victimes.
Cela pourrait passer par un remboursement intégral d’une recherche de typage HLA (300 euros) pour toute personne qui en ferait la demande. Qui paierait ? Ceux qui bénéficient de l’obligation vaccinale imposée à tous par exemple ?
En tout cas, le débat est loin d’être enterré !
Naturellement vôtre,
Augustin de Livois
Alain KALT (retranscription)
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