Environnement Lançonnais

DE LA COLLE, DES HORMONES ET DU PUS...

lundi 13 janvier 2014 par Alain KALT (retranscription)

Je fais partie des gens qui ont dû éliminer le lait de leur vie. Si j’en bois, j’ai une tachycardie dans les 20 minutes qui suivent. Nous sommes nombreux à être intolérants au lait (10% de la population des pays développés) mais ceux qui le savent sont beaucoup moins nombreux. Plus on est encrassé et moins les alarmes réagissent, et il devient presque impossible de faire le rapport entre ce que l’on absorbe et les misères physiques que l’on endure et qui ne cessent de s’aggraver avec le temps.

Il suffit toutefois de voyager et d’observer les gens pour constater que dans les pays où les produits laitiers ne sont pas dans la coutume, on ne trouve pratiquement pas de cas de problèmes de calcium osseux, pas de cancers du sein ni de la prostate.

Parlons un peu des bébés

De nombreux bébés sont maintenant violemment allergiques aux laits en poudre pour biberons et les pédiatres font changer de marque….. et c’est pareil ; le nourrisson se prend un bel eczéma que le médecin va s’appliquer à faire rentrer avec ….un corticoïde qui va transformer l’eczéma en asthme – et tout cela à partir d’un enfant qui était en parfaite santé et qui avait simplement le tort d’essayer d’éliminer le poison avec lequel on le nourrit.

Mais alors, qu’en est-il des bébés qui réagissent aussi au lait du sein de leur mère ? Peut –être leur faudrait-il changer de mère (je veux dire de nourrice) ; car rappelez-vous que tout ce que la mère consomme passe dans le sein. Si la mère consomme des épinards son lait est aux épinards, des carottes, du lait à la carotte, et du lait de vache (pourri).. !

A noter que j’ai vu des bébés allergiques à tout produit laitier quel qu’il soit et qui ont parfaitement poussé sans problèmes avec des purées de légumes.

Les vaches à lait sont des vaches malades

La multinationale Monsanto a produit il y a plusieurs années une hormone de croissance destinée à augmenter la production de lait. Les éleveurs qui ont opté pour cette hormone de croissance se sont retrouvés avec des vaches qui produisaient 40 à 50 litres de lait par jour (auparavant, elles en donnaient au plus 14 litres). Qu’à cela ne tienne, on a traficoté génétiquement un nouveau type de vaches, les Holstein, avec les pattes plus longues afin qu’elles ne se marchent pas sur les pis.

Mais il faut savoir qu’une vache normale vit 25 à 30 ans, et que les vaches traitées avec des hormones de croissance sont usées jusqu’à la corde en… 7 à 8 ans.

Par ailleurs ces vaches sont sujettes à de nombreuses infections, si bien que l’on a dû utiliser des antibiotiques en quantité. Les taux d’antibiotiques dans le lait sont ainsi 100 fois plus élevés qu’il y a 25 ans et les autorités sanitaires se sont contentées d’élever les normes limites autorisées. Il est hallucinant de constater qu’aux USA 80% des vaches souffrent de leucémie. Alors, comment le lait de ces vaches peut-il être sans danger pour l’homme ?

Le cancer du lait

Depuis 1994, année où l’hormone de croissance obtenue par génie génétique fut autorisée pour stimuler la production des vaches laitières, une véritable épidémie de cancers lymphatiques a frappé les USA. Ce type de cancer, rare jusqu’alors, tue plus que les cancers du sein, de la prostate, du pancréas et des organes génitaux réunis. Les citoyens américains sont devenus, sans le savoir, des cobayes qui absorbent de l’hormone de croissance à travers les produits laitiers qu’ils consomment.

Hormones de croissance, on l’a échappé belle

Pourtant l’Europe a résisté et, malgré la pression des multinationales américaines (notamment le dossier fourni par Monsanto qui ne comptait pas moins de 23 000 pages) la commission du Marché Commun qui a étudié la question a refusé l’utilisation de l’hormone de croissance car elle estimait que les preuves de son innocuité n’étaient pas suffisantes. Mais une partie de ce lait aux hormones américain serait-elle arrivée chez nous par l’intermédiaire de produits transformés ? Ce ne serait pas étonnant. Nota : En cas de cancer, la première chose à supprimer TOTALEMENT, ce sont les produits laitiers. Espérer une guérison sans cette suppression draconienne est une utopie qui semble ignorée de la plupart des médecins.

Anémiques ou diabétiques à cause du lait

La cause la plus fréquente de l’anémie est un manque de fer. Or la consommation de lait entraîne souvent des saignements de la muqueuse intestinale, par un phénomène de réaction allergique aux protéines du lait, ce qui fait perdre beaucoup d’hémoglobine.

Et par conséquent, on remarque cette anémie par perte de fer chez un tiers des enfants nourris au lait de vache, alors que ceux nourris au lait maternel n’en souffrent pas.

On a pu aussi lire dans le New England Journal of Medicine,dès juillet 1992 : « Des études ont suggéré que les protéines du lait pourraient jouer un rôle dans l’apparition du diabète chez l’homme. Les patients diabétiques insulino-dépendants produisent des anticorps contre les protéines du lait qui participent au dysfonctionnement des îlots de Langerhans, dans le pancréas, centre de fabrication de l’insuline. Il s’agit d’une réaction auto-immune ». Le véritable problème à la base du développement du diabète étant l’énorme quantité de graisses contenue dans l’alimentation occidentale, à cause de la viande, et des produits laitiers. D’ailleurs, des expériences faites avec des étudiants en médecine ont montré qu’en une semaine à peine d’alimentation très riche en graisse, 50% des étudiants étaient devenus diabétiques.

Tous collés à la caséine

Près de 80 % des protéines du lait et du fromage sont constituées de caséine, qui est une puissante colle, celle qui fait notamment tenir les étiquettes sur les bouteilles de bière.

Nos grands parents s’en servaient pour coller les papiers peints ! Pensez alors à ce que cette colle peut provoquer dans votre organisme. Comme la caséine est une protéine étrangère, le corps crée des anticorps pour la neutraliser. Cette réaction antigène/anticorps fait sécréter de l’histamine et engendre une intense production de mucus, voire de pus, et surtout d’inflammations. De nombreux chercheurs pensent que la caséine est la principale substance responsable des inflammations articulaires que l’on voit dans les arthrites rhumatoïdes. Cela expliquerait pourquoi la suppression de tout produit laitier permet la plupart du temps le soulagement rapide de ces affections.

Depuis des années, je préconise, pour nettoyer les colloïdes laitiers du système lymphatique, du CALCAIRE DE VERSAILLES 8 DH (en pharmacie) - 1 ampoule au lever.

Et le calcium ? Une croyance bien enracinée

Le calcium du lait se métabolise mal chez les adultes, aussi a-t-il tendance à se déposer un peu n’importe où dans les coins tranquilles, plutôt que là où il faut – c’est ainsi que se développent des exostoses, des becs de perroquet, et même la maladie de Paget où le calcium de la colonne vertébrale migre vers l’aorte par un phénomène électrolytique.

Alors où donc trouver le précieux calcium ? Mais dans tous les légumes ! Il y a près de 25 ans que je suis devenu intolérant aux produits laitiers et je n’ai aucun problème de calcification et aucun problème arthrosique. Je ne connais d’ailleurs pas de végétariens qui aient un problème de calcium.

En résumé : arrêtez de croire aveuglément ce que vous dit la télé et ce que votre médecin vous répète comme un perroquet.

Michel Dogna

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