Environnement Lançonnais

DÉPRESSION : LE PIÈGE MORTEL

lundi 20 janvier 2014 par Alain KALT (retranscription)

Il est intéressant de constater que la dépression n’existe pas dans les pays où règnent la guerre, la violence, le drame, bref l’insécurité et la survie : on hurle, on pleure, on souffre, mais on ne déprime pas. En fait, elle est l’apanage des pays riches, où les gens sont sur-sécurisés, anesthésiés par l’assistanat. Les glandes surrénales qui sont génératrices d’adrénaline et sont là pour faire face aux situations d’urgence, sont souvent inhibées par des peurs ou des pollutions. Il en résulte une chute des défenses immunitaires qui s’accompagne d’une chute des défenses psychiques.

Oui, le nœud du problème est bien au niveau psychique et il ne faut pas perdre de vue qu’une dépression nerveuse est pour la plupart du temps un « sabotage » provenant du Maître Intérieur (Soi supérieur) face à une situation d’insatisfaction profonde, de frustration et d’ennui, faisant barrage à un incontournable besoin d’évolution personnelle, et ne trouvant aucune issue satisfaisante. Ce syndrome résulte d’un non agir, d’un manque d’initiative, devant une situation inacceptable. Les peurs de perdre, de manquer, d’être rejeté, « puni » ou condamné sont les causes principales de ce blocage. On manque de courage pour affronter les aléas et le prix de la libération. Alors, inconsciemment, l’on s’invente une petite mort, une déchéance qui va enfin obliger l’entourage à une attention particulière, même si cela ne résout pas le problème de fond.

Un exemple type

Une personne effectue un travail peu valorisant, dans une ambiance peu sympathique en compagnie de gens qu’elle n’apprécie guère, MAIS son salaire mensuel est de 3 000 €. A une époque où chaque jour il y a mille nouveaux chômeurs, prendre le risque d’une démission parait déraisonnable alors qu’elle doit assumer ou co-assumer les traites de la maison, de la voiture et nourrir les enfants. Cette démission serait condamnée par toute la famille et les amis - qui en outre ne gagnent peut-être pas autant - pour la mise en difficulté du foyer d’une façon désinvolte.

ALORS s’installe une censure intérieure de la pensée en amont de la prise de conscience objective, qui bloque à la racine ce désir condamnable d’échapper à cette situation en cul-de-sac.

Il y a trois solutions :

deux bonnes, une mauvaise

- 1. Vous acceptez de tout cœur votre situation présente avec l’idée qu’elle est à votre mesure et qu’elle fait partie des épreuves que vous avez à gérer victorieusement au service de votre évolution et peut-être aussi de celle de votre entourage. Vous quittez votre habit de victime pour prendre celui d’acteur positif exemplaire.

- 2. Vous cherchez activement dès maintenant un autre job pour préparer un départ fracassant qui plombera tout ce petit monde de médiocrité.

- 3. La mauvaise voie, qui est l’acceptation statique à contre cœur, l’auto destruction passive, celle que vous avez choisie ! Bref, « le thé tiède du diable » selon l’expression consacrée dans « le guerrier pacifique » (Dan Millman).

Mais alors, direz-vous, où puiser cette énergie que l’on a perdue ?

Je réponds que nous n’avons aucune énergie propre et que, comme tout être vivant, nous ne sommes en fait que des capteurs d’énergie, celle-là même qui est appelée selon les cultures CHI, QI, PRANA, etc. , et que c’est la pensée qui en tient le robinet.

Il est largement montré et admis que notre énergie vitale s’écroule lorsque l’on « broie du noir », et que réciproquement elle augmente notablement lorsque l’on « broie du blanc ».

Alors le simple fait de prendre une décision nous rebranche à cette Energie Universelle.

La tentation fatale : aller voir un médecin

Que fera le médecin ? Il se contentera de vous prescrire une pilule « magique » de confort nommée antidépresseur, qui n’est en fait qu’une camisole chimique pour étouffer dans l’œuf la révolte de votre sagesse intérieure, vous scotchant définitivement dans les rangs des vaincus. J’en ai vu tellement tomber dans cette facilité menant à la déchéance et au désastre !!! Je m’explique :

Savez-vous que si étant plein de joie de vivre, vous essayez par curiosité de prendre un antidépresseur, au bout d’une semaine vous pouvez avoir des envies de suicide ? On croit rêver ! Et non ! Nous avons été plusieurs, dont des médecins à l’essayer. Ces drogues instillent d’abord une peur irraisonnée de tout, de sortir dans la rue, de conduire une voiture, etc., et surtout…..d’arrêter le traitement ! Et avec le fil du temps, l’idée de la mort devient de plus en plus pesante, obsédante. Certains passent à l’acte, d’autres non ; ceux là peuvent finir dans des établissements psychiatriques.

Je conseille un ouvrage remarquable de Philippe Labro, ancien directeur de RTL qui raconte sa descente aux enfers et comment il a pu s’en sortir ("Tomber sept fois, se relever huit" aux Ed. Folio)

Face aux exploitants des drogues légales

Entre 1980 et 2001, la vente d’antidépresseurs a été multipliée par plus de 7. Mais en 2007 les données montrèrent un ralentissement de la progression de ce marché. Alors un plan de redressement a été lancé par une campagne massive sur la dépression par lequel les lobbies pharmaceutiques et psychiatriques devaient faire remonter la consommation de ce qui est leur gagne-pain. A savoir que les ressources de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS), dont les études ont toujours occulté les dangers décriés par les experts du monde entier, proviennent pour 83% de l’industrie pharmaceutique et seulement 6,4% de l’État.

Or, les antidépresseurs ont été dûment diagnostiqués comme étant la cause de nombreux suicides en France et dans le monde entier. Les dernières études ont montré que tous les tueurs en série de ces dernières années, étaient sous suivi psychiatrique et consommaient les antidépresseurs prescrits par leurs psychiatres. Ils n’étaient pas des tueurs en série avant leur traitement.

Y a-t-il des aides non chimiques ?

Aucun remède ne peut résoudre une situation psychologique bancale. Par contre, il est possible de donner à ceux qui sont en mal de vivre, le punch leur permettant d’oser les décisions nécessaires pour les sortir de l’ornière.

En voici une petite liste non exhaustive, au choix :

Sérum anti-colibacillaire 30 CH, remède de dépannage peu connu et pourtant très efficace en urgence homéopathique. 1 ampoule avant le repas matin et soir.

Phosphoric acid 30 CH, spécial dépression des jeunes par épuisement nerveux 1 dose, 2 fois par semaine.

Millepertuis sous forme de Jarcin 300 (produit allemand), qui a en outre fait l’objet d’attaques en règle, car il venait menacer le marché du Déroxat, du Zoloft, de l’Effexor, du Prozac... 1 comprimé aux trois repas.

Tourmaline lithique 8 DH 1 ampoule au lever et coucher.

Griffonia au 5 HTP, 3 gélules avant le repas du soir.

Ficus Carica (bourgeons 1 DH) 50 gouttes + eau aux 3 repas.

Ferrum (dépression des anémiques) doses 1.000K – 5.000K – 10.000K à une semaine d’intervalle.

Plumbum (dépression par vieillissement prématuré) doses 1.000K – 5.000K – 10.000K à une semaine d’intervalle.

Stanum (dépression des rigides) doses 1.000K – 5.000K – 10.000K à une semaine d’intervalle.

La vie n’est faite que de risques - c’est ce qui la rend attrayante voire passionnante.

Optez pour les solutions 1 ou 2 - celles des gagnants - mais jamais la 3, celle des perdants.

Michel Dogna

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