Le pic pétrolier de l’Algérie, et de trois autres nations arabes gâtées par l’or noir
28 février 2014, par Matthieu Auzanneau
L’Algérie, l’un des principaux fournisseurs du pétrole et du gaz consumés en France, s’inquiète de plus en plus ouvertement de l’avenir de sa production d’or noir, rapporte cette semaine le quotidien El Watan :
"Les réserves stagnent et les efforts d’exploration n’aboutissent au final qu’à des gisements de plus en plus petits, ne présageant rien de bon et risquant d’induire un rapide déclin de la production (...)."
Des découvertes de plus en plus maigres, en dépit des efforts d’investissement : air connu sur ce blog.
En quête d’une échappatoire, l’Algérie cherche à s’ouvrir aux investisseurs étrangers afin de développer entre autres des ressources de pétrole non-conventionnels (tout comme le Mexique et l’Iran, pays non moins attachés jusqu’ici à l’indépendance de leurs compagnies nationales).
Pas sûr que cela suffise.
Pour des raisons de copyrights l’intégralité de ce document ne peut être copiée sur ce site.
Pour lire la suite de cet article, cliquez ici...
Alain KALT (retranscription)
Articles de cet auteur
fr
2 - Informations générales
Matières premières
?